X‑1R : Héritage de la course automobile, légitimité spatiale

Né sur les circuits.

Éprouvé pour le spatial.

Adopté sur la route par des millions d’utilisateurs

X‑1R voit le jour en 1989 à Daytona, en Floride aux USA. Au départ, une petite équipe issue des paddocks NASCAR. Objectif simple : réduire l’usure, gagner en fiabilité, tenir la chaleur des moteurs de course. Le premier succès s’appelle “X‑1R Friction Eliminator”. Les résultats intriguent, les équipes testent, la réputation grandit. Puis un appel venu du spatial change la trajectoire de l’entreprise.

 

Des stands au pas de tir : la rencontre avec la NASA

1994 — Le centre spatial Kennedy cherche une solution propre et efficace pour lubrifier son gigantesque “crawler”, la plateforme automotrice qui transporte la navette jusqu’au pas de tir. Les lubrifiants utilisés jusque‑là posent des problèmes de performance et d’impact environnemental. X‑1R est sollicité.

En quelques semaines, une formulation performante et respectueuse de l’environnement est mise au point, testée sur site et adoptée. Elle deviendra le Crawler Track Lube. Depuis, le programme spatial en fait un usage régulier. En 2000, X‑1R est intronisé au Space Technology Hall of Fame. Une reconnaissance rare pour un lubrifiant issu du sport auto.

 

 

Du spatial au quotidien : ce que les utilisateurs gagnent

Les solutions mises au point pour déplacer des millions de kilos à 6 km/h ont été adaptées au civil. Résultat : des traitements moteur et carburant faciles à utiliser, conçus pour durer et pour protéger.

  • Moins de friction, moins de bruit, plus de douceur mécanique. Confort au volant et allongement de la durée de vie
  • Économie de carburant mesurable, souvent autour de 10% selon les essais terrain et médias spécialisés. Une respiration pour les portefeuilles comme pour les flottes
  • Moteurs plus propres : limitation des dépôts, aide au décrassage, fonctionnement plus régulier
  • Facile à vivre : format “on dose et on roule”, compatible avec la plupart des moteurs essence et diesel. Utilisé des paddocks aux garages des particuliers, en passant par les ateliers professionnels

 

 

35 ans d’histoire

  • 1989 — Fondation à Daytona, Floride. Mission : des lubrifiants de course plus endurants et plus propres.
  • Début des années 1990 — Succès en NASCAR. Premiers gains de puissance et de fiabilité constatés dans les paddocks.
  • 1994 — Début de la collaboration avec le centre spatial Kennedy pour le “crawler”. Développement d’un lubrifiant éco-responsable haute performance.
  • 1996 — Industrialisation et premières déclinaisons : traitement de l’huile moteur, lubrifiant universel en aérosol, etc.
  • 1997 — Élargissement de la gamme grand public.
  • 2000 — Introduction au NASA Space Technology Hall of Fame. Une première pour une technologie de lubrification issue du sport auto.
  • Années 2010 — Diffusion des produits en Asie et à travers le monde.
  • À partir de 2017 — Entrée dans de nouveaux pays. La trajectoire se poursuit.
  • Depuis 2018  — Introduction de la marque X-1R en France, par IDfyp S.A.S. (distributeur officiel et exclusif)
  • 2022-2024 — X-1R sponsorise Florian Bodart, pilote de Drift engagé sur le Championnat de France

Fin de l’histoire? Non. X‑1R continue d’écrire la suite avec la même méthode : observer les besoins réels, concevoir des solutions robustes, valider sur le terrain, documenter les résultats. From track to space. And back.

 

 

 

Florian Bodart : la preuve par le Drift

Depuis 2022, X‑1R accompagne et sponsorise le pilote français Florian Bodart en Championnat de France de Drift. Le Drift, c’est rouler haut dans les tours, souvent au rupteur, avec des enchaînements accélération–freinage–rétrogradage répétés. En quelques dizaines de secondes, les charges thermiques et latérales explosent : un banc d’essai à ciel ouvert.

Objectif du partenariat : constance et fiabilité sur toute la saison. Constats côté pilote : pas de casse moteur, pas de casse de boîte et des vidanges où l’huile se maintient nettement mieux qu’avant l’adoption des produits X‑1R, en particulier depuis le traitement d’huile MCR (moteur, boîte et pont). Depuis, Florian partage son expérience. Il répond aux questions pointues, alimente notre boucle de progrès et rappelle une évidence : la performance n’a de valeur que si elle dure.